Nathalie L.
En septembre cette année, on fêtera les 20 ans de la sortie de Nevermind, disque pivot s'il en est un des 90's en général et des miennes en particulier. La semaine dernière, on s'est souvenu avec une émotion intacte de ce jour d'avril 1994 où, Kurt Cobain, à 27 ans, avait mis fin à ses jours nous laissant comme orphelin. Aujourd'hui, les Foo Fighters sortent un septième album, produit par Butch Vig, avec la participation de Kris Novoselic, et c'est avec une attention toute particulière que j'ai écouté ce Wasting light.
Ce nouvel opus se caractérise par sa très grande homogénéité, toutes guitares devant, rythmique solide, la production est parfaite, réellement aux services des chansons et de la voix puissante et sexy de Dave Grohl.
Véritable concentré d'énergie à peine domestiquée, l'album démarre sur les chapeaux de roue avec un explosif Bridge Burning, compromis idéal entre chanson pop (le refrain) et (très) grosses guitares, toutes devant.
On retrouvera cette atmosphère en plus sauvage (et en très Datsuns) dans White Limo (dont on vous conseille l'hilarant clip avec ce bon vieux Lemmy). Mais il y a aussi dans cet album des incursions réussies du côté de la power-pop (Dear Rosemary ou Arlendria) et du stoner (I should have known). Quand à Miss the Misery, les premières notes nous ramènent directement dans les 90's.
Les 11 chansons de ce nouvel album illustrent à merveille cet équilibre parfait entre guitares musclées, rythmique lourde et chansons au final pop (que de single sur ce disque !).
Depuis 16 ans, Dave Grohl creuse méthodiquement son sillon, à l'écart des tendances et sans pillage de l'héritage Nirvana. En toute liberté. Il faudra donc ne pas rater le film réalisé sur eux par James Moll; Foo Fighters : Back and Forth qui sort aussi ces jours-ci aux Etats-Unis et en Angleterre.
Ce nouvel opus se caractérise par sa très grande homogénéité, toutes guitares devant, rythmique solide, la production est parfaite, réellement aux services des chansons et de la voix puissante et sexy de Dave Grohl.
Véritable concentré d'énergie à peine domestiquée, l'album démarre sur les chapeaux de roue avec un explosif Bridge Burning, compromis idéal entre chanson pop (le refrain) et (très) grosses guitares, toutes devant.
On retrouvera cette atmosphère en plus sauvage (et en très Datsuns) dans White Limo (dont on vous conseille l'hilarant clip avec ce bon vieux Lemmy). Mais il y a aussi dans cet album des incursions réussies du côté de la power-pop (Dear Rosemary ou Arlendria) et du stoner (I should have known). Quand à Miss the Misery, les premières notes nous ramènent directement dans les 90's.
Les 11 chansons de ce nouvel album illustrent à merveille cet équilibre parfait entre guitares musclées, rythmique lourde et chansons au final pop (que de single sur ce disque !).
Depuis 16 ans, Dave Grohl creuse méthodiquement son sillon, à l'écart des tendances et sans pillage de l'héritage Nirvana. En toute liberté. Il faudra donc ne pas rater le film réalisé sur eux par James Moll; Foo Fighters : Back and Forth qui sort aussi ces jours-ci aux Etats-Unis et en Angleterre.
01.Bridge Burning
02.Rope
03. Dear Rosemary
04. White Limo
05. Arlandria
06. These Days
07. Back and Forth
08. A Matter of Time
09. Miss the Misery
10. I should have known
11. Walk
02.Rope
03. Dear Rosemary
04. White Limo
05. Arlandria
06. These Days
07. Back and Forth
08. A Matter of Time
09. Miss the Misery
10. I should have known
11. Walk
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